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Grisey | Murail | Romitelli | Bedrossian | Robin, J'ouïs |  | l'empreinte digitale, 2019 | |
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CD |
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Fausto Romitelli : Domeniche alla periferia dell'impero, Prima domenica [1996-2000] pour flûte, clarinette, violon et violoncelle 06:17 [a]
Gérard Grisey : Talea [1986] pour flûte, clarinette, piano, violon et violoncelle 16:15 [b]
Yann Robin : Fterà II [2016] pour clarinette basse, piano et violoncelle 11:03 [c]
Tristan Murail : Treize couleurs du soleil couchant [1978] pour flûte, clarinette, piano, violon et violoncelle 12:56 [d]
Franck Bedrossian : The Spider as an artist [2014] pour violoncelle solo 07:13 [e]
Fausto Romitelli : Domeniche alla periferia dell'impero, Seconda domenica: Omaggio a Gérard Grisey [1996-2000] pour flûte, clarinette, violon et violoncelle 06:06 [f]
Ensemble Multilatérale [Matteo Cesari, flûte • Bogdan Sydorenko, clarinette, clarinette basse • Lise Baudouin, piano • Pieter Jansen, violon • Pablo Tognan, violoncelle]
Léo Warynski, direction
extrait audio  |
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Dans les années 70-80 naissait en France un courant esthétique, dit «Spectral», marquant une étape dans la pensée du son, du timbre, et plus particulièrement de son évolution dans la durée.
Gérard Grisey et Tristan Murail en furent les principaux représentants. L’impact de cette pensée fut grand dans les années 90 sur le travail de Fausto Romitelli qui en garda certains principes, notamment dans le processus de transformation par vague, en y intégrant des références extérieures à la musique dite «savante», notamment de la Pop et des musiques « électrifiées ». Le fait de puiser ailleurs entraina une immense possibilité de liberté dans la pensée de la génération qui suivit celle de Romitelli.
Peut-être est-ce l’une des raisons pour laquelle naquit dans les années 2000 un nouveau courant, dont Franck Bedrossian et Yann Robin font partie, que l’on qualifia, à tort ou à raison, de celui de la «Saturation» et qui, au-delà de la place centrale du timbre, l’excès dans toutes ses dimensions (gestes, intensités, vitesses, masses…) allait ouvrir de nouvelles possibilités instrumentales entrainant inévitablement une nouvelle ouverture vers l’inouï… © Catherine Peillon |
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technique
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édition
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partenariats
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Enregistrements : Gennevilliers, Auditorium du conservatoire Edgar Varèse, 9-11 juin 2019
Direction artistique : François Eckert
Prise de son : François Eckert assisté de Cyprien Mathieux et Julien Podolak
Montage : Julien Podolak
Mixage, mastering : François Eckert
DDD |
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Digipack 1 volet avec livret de 20 pages
Textes en français (avec traduction anglaise) : Flammes qui dansent texte de Yannick Haenel,
notices biographiques sur les compositeurs et les interprètes
Photographie : Catherine Peillon (dont couverture), Ugo Ponte, Pierre Gondard
Création graphique : Catherine Peillon |
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Production : [coproduction], Ensemble Multilatérale / L'empreinte digitale
Avec le soutien de MFA, FCM , Casa Ricordi, Éditions Durand , Conservatoire Edgar Varèse Gennevilliers |
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éditions musicales
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label, collection
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support, référence, durée
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Casa Ricordi c/o Éditions Durand, Paris [a,f] ; Casa Ricordi, Milano [b] ; Éditions Jobert, Paris [c] ; Éditions Alphonse Leduc, Paris [d] ; Verlag Neue Musik, Berlin [e] |
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l'empreinte digitale , 2019 |
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CD • ED13260 • 59:53 |
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Label associé :
l'empreinte digitale
Compositeurs associés :
Franck Bedrossian
Gérard Grisey
Tristan Murail
Yann Robin
Franco Romitelli
Interprètes associés :
Ensemble Multilatérale Lise Baudouin Matteo Cesari Pieter Jansen Bogdan Sydorenkoa Pablo Tognan

Léo Warynski
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